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OLYMPIQUE DE MARSEILLE

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menzo0013

Description :

L'Olympique de Marseille a le plus grand palmares des clubs français. Venez retrouver sur ce blog, tous ses titres mais également tous ce qui entoure ce club depuis 1899 à aujourd'hui. Pour les inconditionnels de l'OM...

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COUPE DE FRANCE 1935

lcérés par le cinglant camouflet de l'année précédente face à Sete, l'équipe présente une structure de joueurs révélés au club, animés par deux internationaux hongrois (Eisenhofler qui avait joué contre la France au Havre en 1924) et Kohut (trois des treize buts encaissés par le gardien tricolore à Budapest le 12 juin 1927)...
Pour arriver en finale, les Olympiens auront quand même connus quelques sueurs froides devant Nïmes (1-0, but de Roviglione à la 87e) ou le Red Star (3-2, but vainqueur d'Eisenhoffer à la 90e) et accompli un exploit en quart de finale contre Sochaux (3-0), champion cette année-là.
Le 5 mai monsieur Lecesne et le célèbre acteur Harry Baur (membre fondateur de l'OM) assistent à la finale au côté du président Gabriel Dard autre olympien de la première heure. L'OM entre dans le vif du sujet après une demi-heure de jeu, les rennais encaissent trois buts en dix minutes. La cause est entendue.

Après le repos les blancs se contentent de contrôler le jeu. Albert Lebrun remet la coupe au capitaine Marseillais Max Charbit. Ce quatrième succès permet à l'OM de rejoindre une nouvelle fois le Red Star au nombre de victoires.

OM 3-0 Stade Rennais UC (05/05/1935)
Le 5 mai 1935 à Colombes (Stade Yves du Manoir)
40 008 spectateurs / Arbitre M. Leclercq
OM : Di Lorto, Max Conchy, Henri Conchy, Charbit, Bruhin, Raymond Durand, Zermani, Alcazar, Roviglione, Eisenhoffer, Kohut
Stade Rennais UC : Collet, Rose, Pleyer, Jean Laurent, Volante, Gardet, Rouxel, Boccon, Bermasconi, Chauvel, Cahours


Buts
1-0 Roviglione (34), tir, sur une ouverture en profondeur d'Eisenhoffer déviée de la tête par Alcazar.
2-0 Kohut (38), tir croisé, après un débordement et une passe de Zermani.
3:0 Laurent J. (43 csc), tir d'Alcazar dévié par le dos de J. Laurent.

Repères
Ils ont aussi participé
Chloupek (1/32 F), Rabih (1/32 F-1/16 F-1/8 F-1/2 F), Cavalli (1/16 F-1/4 F-1/2 F)


Le Parcours jusqu'à la finale
- 32è OM 3-1 RC Agathois
- 16è OM 1-0 SC Nîmes
- 8è OM 2-1 Antibes/Juan les Pins FC
-1/4 OM 3-0 FC Sochaux-Montbéliard
-1/2 OM 3-2 Red Star Olympique
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#Posté le dimanche 24 juillet 2005 16:03

COUPE DE FRANCE 1927

Pour la première fois, la finale de la coupe se joue à Colombes et est honorée de la présence du président de la République. Un méridional puisqu'il s'agit de Gaston Doumergue natif d'Aigues Vives. C'est lui qui remet la coupe au capitaine marseillais Ernest Clère.
Quelques modifications par rapport à la saison 1925/26 : Charles Allé (venant d'Oran, futur international) Schnoek (un solide légionaire) Jean Cabassu (qui retrouve sa place ayant terminé ses études à Paris) et le jeune Albert Durand succèdent à Seitz (blessé et privé d'une troisième participation... comme joueur du champ cette fois) Subrini, Blanc et D. Deruymbecke.
Parfaitement rodée, l'équipe marseillaise domine largement cette coupe de France après avoir balayé un des grands de l'époque, le C.A. Paris, champion de France, en demi-finale 1 à 1 puis 6-0 !!
Curieusement, c'est donc en finale que Marseille va rencontrer son plus faible adversaire de cette édition... La finale l'oppose en effet à Quevilly, une équipe modeste sans véritable star. Les deux formations s'étaient rencontrées au stade des 8e de finale lors de l'édition de 1926 et une fois encore, l'OM l'emporte facilement sur trois buts de Durand (reprise à ras de terre d'un centre de Dewaquez mal captée par le gardien Puddefoot), Gallay (reprise d'un centre-tir de Dewaquez) et enfin Dewaquez après une échappée solitaire. Une victoire sans péril mais avec gloire pour l'0.M. Les Olympiens demeurent les provinciaux à avoir gagné la Coupe.
Cette année 1927, la 3ème victoire en coupe n'est pas le seul titre de gloire décerné à l'OM. Les Olympiens remportent le championnat du Sud-Est.
Cette compétition organisée depuis 1920, n'avait jamais échappé au F.C. Cette.

OM 2-0 US Quevilly (06/05/1927)
Le 6 mai 1927 à Colombes (Stade Yves du Manoir)
OM : Allé, Schnoeck, Jacquier, Clère, Cabassu, Durbec, Dewaquez, Raymond Durand, Boyer, Crut, Gallay.
US Quevilly : Puddefoot, Demeilliez,Farret, Hecquet, Bonnardel, Groult, Verdin, Willig, Fagris, Guillard, Deans.
23 800 spectateurs / Arbitre M. Quittemel


Buts
1-0 Durand (34), reprise à ras de terre d'un centre de Dewaquez, après une erreur de Bonnardel.
2-0 Gallay (36), reprise d'un centre-tir de Dewaquez, mal paré par Puddefoot.
3-0 Dewaquez (89), centre-tir croisé, après une échappée.

Repères
Ils ont aussi participé
Mader (1/4 F) et Gaston de Ruymbecke (1/2 F).


Le Parcours jusqu'à la finale
Les 1/4 de finalistes de 1926 sont exempts jusqu'au 16è
- 16è OM 2-0 FEC Levallois
- 8è OM 2-0 FC Cette
- 1/4 OM 1-0 Olympique Lillois
- 1/2 OM 1-1 CA Paris
- OM 6-0 CA Paris
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#Posté le dimanche 24 juillet 2005 16:05

COUPE DE FRANCE 1926

L'OM inspire désormais le respect même si la coupe ne lui a pas réussi au cours de l'exercice écoulé. Monsieur Dellaporta digne successeur du Président Lecesne a fait venir les internationaux Clere, Dewaquez et Gallay...
Le résultat est à la hauteur des ambitions affichées. Quatre buts contre Tourcoing, cinq au détriment du Stade Français en demi-finale, et enfin quatre face à Valentigney à Colombes ! Pendant cette finale, devant un public et un arbitre tout acquis au plus faible, l'OM s'est contenté de jouer au petit trot et de marquer quelques buts par sécurité.
Le match n'a pas été beau, mais le résultat est sans appel : 4-1. L'exploit le plus remarquable est réalisé par Paul Seitz. L'Olympien avait déjà remporté le trophée en 1924. Il évoluait alors au sein de la défense phocéenne. En 1926, il récidive, mais cette fois-ci au poste de gardien de but !
Une performance originale et unique dans les annales

OM 4-1 AS Valentigney (9/5/1926)
Le 9 mai 1926 à Colombes (Stade Yves du Manoir)
30 000 spectateurs / Arbitre M. Balvay
OM : Seitz, Durbec, Jacquier, Subrini, Clère, Raoul Blanc, Dewaquez, Douglas de Ruymbecke, Boyer, Crut, Gallay
AS Valentigney : Entz, Lovy, Simonin, Rigoulot, Goll, Richard, Grédy, Van Praet, Chavey, Haenni, Schaff.


Buts
1-0 Dewaquez (16), reprise au second poteau d'un centre de Gallay.
2-0 De Ruymbecke D. (26), reprise de la poitrine d'un centre de Gallay.
3-0 Boyer (33), reprise de la tête d'un centre de Gallay.
3-1 Chavey (40), tir de 15m, sur passe de Van Praet.
4-1 Dewaquez (80), reprise de près d'un premier tir renvoyé par Entz, après un centre de Gallay.

Repères
Ils ont aussi participé
De Ruymbecke (32e, 8e, 1/4) Cabassu (32e, 16e)


Le Parcours jusqu'à la finale
- 32è OM 8-2 CS Lyonnais
- 16è OM 8-2 SC Sélestat 1906
- 8è OM 4-0 US Quevillaise
- 1/4 OM 4-2 US Tourquennoise
- 1/2 OM 5-0 Stade Français
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#Posté le dimanche 24 juillet 2005 16:08

COUPE DE FRANCE 1924

Le 13 avril 1924, la coupe de France quitte la capitale pour la première fois. Après avoir éliminé le Stade Français en 1 /4 de finale et le FC Rouen en 1/2 finale, Marseille vient à bout de Cette, le plus prestigieux des clubs méridionaux. Le tandem des deux grands attaquants parisiens Crut-Boyer recruté en début de saison, en est le grand artisan. Un but pour le premier, deux pour le second ont scellé le succès phocéen. La technique supérieure des Sétois n'a pas résisté à la volonté des Marseillais, fidèles à leur devise " Droit au But ". Une explication que l'on va souvent retrouver au fil des succès olympiens. A la fin du temps réglementaire, les deux équipes sont dos à dos. Le but victorieux est signé Edouard Crut sur un coup franc de plus de 35 mètres à la 100e minute.
Le lendemain, les supporters ne sont qu'une poignée à la Gare St-Charles pour le retour des joueurs. On est encore loin des grandes parades triomphales, mais le culte se met déjà en place : Chez Charley, place Castellane, la Coupe exposée voit défiler jour après jour tout ce que Marseille compte d'amoureux du sport. Le " Petit Marseillais " va même jusqu'à prendre l'initiative d'une souscription pour ériger une plaque commémorant la victoire olympienne.

OM 3-2 FC Cette (13/04/1924)
Le 13 avril 1924 à Colombes
(Stade Yves du Manoir)
OM: Robert de Ruymbecke- Jacquier, Seitz, Raoul Blanc, Cabassu, Torta, Michel, Boyer (cap), Subrini, Crut, Douglas de Ruymbecke
FC Cette: Henric- Gravier, Hewitt, Parachini, Marcel Domergue, Jourda, Cornelius, Cazal, Caballero, Dangles, Gibson.


Buts
2-1 Boyer (42), tir croisé de 15 m, sur ouverture de Crut.
2-2 Torta (67 csc), mauvais dégagement d'un centre de Gibson, Caballero chargeant R. de Ruymbecke.
3-2 Crut, tir dans la lucarne, sur coup franc direct à 25m.

Repères
Ils ont aussi participé
Bastiani (gardien) 1/16 F, 1/8 F, I/4 F.
L. Bernard 1/4 F et 1/2 F
Gaston de Ruymbecke 1/2 F


Le Parcours jusqu'à la finale
- 32è OM 9-0 Les Scouts Gapençais
- 16è OM 4-1 FC Mulhouse 1893
- 8è OM 4-1 FC Dieppois
- 1/4 OM 2-2 Stade Français
- OM 3-2 Stade Français
- 1/2 OM 3-1 FC Rouennais
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#Posté le dimanche 24 juillet 2005 16:09

CHAMPION D'EUROPE 1993

Elle est là. Belle, majestueuse. Posée sur une table, dans l'alignement du rond central, elle focalise tous les regards et toutes les envies. Elle, c'est la Coupe d'Europe. La seule, celle avec les grandes anses. Celle qui a fait pleurer Boli et tout Marseille en 1991. Celle qui fait encore rêver l'OM deux ans plus tard.
Peut-elle se refuser de nouveau aux Olympiens ? A leur entrée sur la pelouse pour l'échauffement, ils la couvent des yeux, mais aucun ne se risque à la toucher. Trop confiants à Bari, ils l'avaient sans doute brusqué.
Raymond Goethals connaît ces moments-là. Il vit à Munich sa 7e et dernière finale. Elle ne peut être que glorieuse. Comme à son habitude, le stratège belge a peaufiné la tactique dans ses moindres détails. Il a imaginé toutes les parades, tous les scenarii. Papin ou pas Papin. Gullit ou pas Gullit.
Finalement, les deux Milanais ne sont que spectateurs au moment du coup d'envoi. JPP sur le banc, et le Batave dans les tribunes. Ainsi en a décidé Fabio Capello, l'entraîneur de la «meilleure formation du Monde». Sentiment renforcé par ses 10 victoires consécutives dans la compétition jusqu'à cette finale.

Les premières minutes sont nettement en faveur des Italiens. Le public marseillais frôle l'infarctus en de multiples occasions. Rijkaard puis Massaro ratent la cible de la tête alors que les tifosi avaient déjà les bras au ciel. Blessé au genou depuis plusieurs semaines, Basile Boli souffre terriblement. Il se retourne en direction de Goethals pour l'implorer de sortir. Völler a vu la scène. Leader naturel de l'équipe, il s'approche alors de «Base» et lui dit : «Please, stay» (ndlr : S'il te plait, reste). Boli reprend sa place. Le sacre de l'OM tient peut-être à ces deux mots en anglais du buteur allemand.
La pression milanaise reste insupportable jusqu'à la demi-heure de jeu. Van Basten est insaisissable. A la 17e, il pivote et frappe au but. Le ballon est détourné par Barthez au prix d'un réflexe étonnant. Du haut de ses 21 printemps, le jeune portier vient de tenir en échec le triple ballon d'or. Un tournant.
Après un tel démarrage, les Marseillais ne peuvent que s'améliorer. Ils refont surface grâce à une hargne décuplée. Chaque joueur, de l'attaque à la défense, met désormais tout son c½ur à l'ouvrage pour faire déjouer les «Rossoneri». L'organisation se règle pour déboucher sur un mécanisme parfait. Le siège des buts de Barthez laisse place à une bataille du milieu de terrain.
L'orage passé, les Olympiens rangent les parapluies et s'en vont plus volontiers pousser les Milanais à la faute. Abédi Pelé gêne ainsi considérablement Paolo Maldini. Sur un débordement du Ghanéen, ce dernier ne peut éviter le corner. La pendule de l'Olympiastadion indique 20h58. La mi-temps est toute proche. On ne peut rêver meilleur moment.
Pelé frappe le coup de pied de coin au premier poteau. Boli s'élève dans les airs et prolonge du crâne la balle dans les buts. Une tête en or. Rossi, immobile, est battu. Les supporters phocéens hurlent leur joie comme jamais. Incroyable, l'OM l'a fait. Il mène à la pause !

Capello ne perd pas une minute. Il envoie Papin s'échauffer en vue de la seconde mi-temps. Une bordée de sifflets l'accueille quand il remplace Donadoni, à la 55e. Les 25 000 fans marseillais n'ont pas la mémoire courte. Mais ils ne peuvent acclamer celui qui peut causer leur perte, alors que le frisson de la victoire les parcourt depuis le but de Boli.
L'ancienne idole du Vélodrome se retrouve d'ailleurs en bonne position à un quart d'heure de la fin, mais ne cadre pas sa reprise couchée. Un bref soulagement dans une longue période d'inquiétude. Les inconditionnels de l'OM regardent frénétiquement le chronomètre. Les minutes y semblent des heures.
Sur le terrain, la sortie d'Angloma sur blessure n'a pas déséquilibré le collectif. Les coéquipiers de Deschamps ne lâchent pas le morceau. Toutefois, ils ont abandonné toute idée d'inquiéter Rossi. Toutes leurs forces sont maintenant unies dans un même combat : la défense de leur avantage. On gagne trente mètres sur une relance, on grappille quelques secondes sur un coup-franc.

L'attente du coup de sifflet libérateur de Kurt Rothlisberger est interminable. Quand il résonne enfin, la clameur venue du virage blanc est infinie, démentielle. Une explosion à la mesure de l'exploit accompli. L'OM a atteint son nirvana. Il est CHAMPION D'EUROPE !
Sur le rectangle vert, les joueurs sont ivres de bonheur. Di Meco, Sauzée et beaucoup d'autres pleurent comme des gosses. Boli ne verse cette fois pas une larme, et le fait savoir.
Non sans difficulté, Deschamps entraîne progressivement ses partenaires vers le podium. ELLE les attend, parée de rubans bleus et blancs. Sous un tonnerre d'applaudissements, le capitaine pose ses lèvres sur elle avant de la brandir dans le ciel munichois. Le geste est historique. 37 ans que le football français l'attendait... A jamais les Premiers !

OM 1-0 Milan AC (Ita)
26 Mai 1993
Finale de la Ligue des Champions
A Munich, Olympiastadion
64 444 Spectateurs
Arbitre : M. Rothlisberger (Sui)
But : Boli (43e) pour l'OM
Avertissements : Di Meco (31e), Boli (54e), Barthez (71e) à l'OM ; Lentini (37e) à Milan
OM : Barthez – Angloma (Durand 62e), Boli, Desailly, Di Meco – Eydelie, Deschamps, Sauzée – Pelé – Boksic, Völler (Thomas 80e). Ent : Goethals
Milan : Rossi – Tassoti, Baresi, Costacurta, Maldini – Rijkaard, Albertini, Donadoni (Papin 55e), Lentini – Van Basten (Eranio 85e), Massaro. Ent : Capello


Le Parcours jusqu'à la finale
- 16e A : Glentoran 0-5 OM
- 16e R : OM 3-0 Glentoran
- 8e A : Bucarest 0-0 OM
- 8e R : OM 2-0 Bucarest
- Poule : Rangers 2-2 OM
- Poule : OM 3-0 Bruges
- Poule : CSKA Moscou 1-1 OM
- Poule : OM 6-0 CSKA Moscou
- Poule : OM 1-1 Rangers
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