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OLYMPIQUE DE MARSEILLE

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menzo0013

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L'Olympique de Marseille a le plus grand palmares des clubs français. Venez retrouver sur ce blog, tous ses titres mais également tous ce qui entoure ce club depuis 1899 à aujourd'hui. Pour les inconditionnels de l'OM...

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FINALISTE DE LA LIGUE DES CHAMPIONS 1991

Maudits», «Quelle tristesse !», «Le rêve brisé». Aucun journal n'use de mots assez forts pour qualifier l'immense déception engendrée par la défaite olympienne concédée la veille à Bari. Tous publient la photo d'un Basile Boli inconsolable au milieu de la pelouse du stade San Nicola. Le symbole de la désolation qui s'est emparée des joueurs marseillais, battus à la loterie des tirs au but.
Comment en est-on arrivé là ? Comment le rêve a-t-il filé entre les doigts des Olympiens ? Il aurait fallu faire jouer l'expérimenté Tigana, l'habitué des grands matches. Bernard Tapie a trop cloisonné l'équipe avant la finale. Goethals aurait du faire entrer plus tôt Dragan Stojkovic, l'ex-joueur de l'Etoile Rouge dont ses anciens coéquipiers semblaient avoir eu peur bleue. Manuel Amoros n'aurait jamais du «changer de côté» au dernier moment lors de l'exécution de son tir au but. Bref, encore aujourd'hui, il n'est pas un supporter sans avis sur la question.
Toujours est-il que l'OM a raté son match. Et que la petite forme de son trio magique n'y est sans doute pas étrangère. Comme il le reconnaîtra par la suite, le coach yougoslave Petrovic n'avait pour seule tactique que de neutraliser les attaquants de l'OM. Et ce, malgré la richesse technique de son équipe. Après coup, à la lecture de la composition de l'Etoile Rouge, c'est encore plus flagrant. Ce maudit 29 mai, les brillants Prosinecki, Mihajlovic ou encore Savicevic ont passé 120 minutes à détruire plutôt qu'à créer. Une stratégie regrettable pour le spectacle mais diablement payante au final.
Pourtant, malgré ce refus de jouer manifesté par son adversaire, l'OM est parvenu à se créer plusieurs occasions franches pour l'emporter. La première, un tir trop croisé de Papin aurait bien pu changer toute la physionomie du match.

Par la suite, Chris Waddle (très discret ce soir-là) a également eu deux belles opportunités. Dont une, à quelques secondes de la fin du temps réglementaire. Et c'est ainsi que cette stérilité offensive conduisit les Marseillais à la terrible séance des tirs au but. Un exercice, on l'apprendra plus tard, auquel les Yougoslaves étaient rompus puisqu'ils les tiraient en championnat dès qu'il y avait match nul. Les joueurs de l'Etoile Rouge réussiront d'ailleurs un sans-faute alors qu'Amoros connaîtra un raté décisif. Tel un ange, le rêve était passé...

A son retour à Marseille, l'OM est accueilli par des milliers de supporters. Pratiquement tous les Olympiens portent des lunettes noires derrière lesquelles on devine des yeux rougis par les pleurs. Bernard Tapie redonne le sourire à la foule en promettant «qu'on ne va pas s'arrêter là...» Un peu plus tôt, il avait eu des mots moins réconfortants envers ses joueurs : «Que ceux qui veulent partir ne se gênent pas...»

Etoile Rouge de Belgrade (You) 0-0 OM
(Belgrade vainqueur 5 tirs au but à 3)
Finale de la Coupe des Champions
A Bari, Stade San Nicola
59 000 Spectateurs
Arbitre : M. Lanese (Ita)
Tirs au but réussis : Prosinecki, Binic, Belodedic, Mihajlovic, Pancev pour Belgrade ; Casoni, Papin, Mozer pour l'OM
Tir au but raté : Amoros pour l'OM
Avertissements : Binic (26e), Mihajlovic (40e), Marovic (61e) pour Belgrade ; Boli (28e) pour l'OM
Etoile Rouge : Stojanovic – Sabanadzovic, Belodedic, Najdoski, Marovic, Jugovic, Prosinecki, Mihajlovic, Savicevic (Stosic 83e), Binic, Pancev. Ent : Petrovic
OM : Olmeta – Amoros, Boli, Mozer, Casoni, Di Méco (Stojkovic 111e) - Germain, Fournier (Vercruysse 75e) – Waddle, Pelé, Papin. Ent : Goethals


Le Parcours jusqu'à la finale
- 16e A : OM 5-1 Tirana
- 16e R : Tirana 0-0 OM
- 8e A : Poznan 3-2 OM
- 8e R : OM 6-1 Poznan
- 1/4 A : Milan 1-1 OM
- 1/4 R : OM 1-0 Milan (off : 3-0)
- 1/2 A : Spartak 1-3 OM
- 1/2 R : OM 2-1 Spartak
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#Posté le dimanche 24 juillet 2005 16:31

FINALISTE UEFA 2004

Comme souvent dans ce type de rencontre, on se dit que la chance sourit toujours du mauvais côté. Face à la fougue des Olympiens, les Valencians ont répondu par de vieilles recettes si souvent vues dans les rencontres européennes des clubs français. Le collectif espagnol est une mécanique implacable, la défense est de fer mais c'était tellement prévisible. Ayala qui matraque Didier Drogba sur chacune de ses interventions, des fautes à 80 mètres des buts adverses et un penalty qui arrive au meilleur des moments. C'est ce que l'on appelle l'expérience...
Les olympiens, pleins d'élans, cumulent pourtant les occasions chaudes en première période par Marlet, N'Diaye ou Beye. Face à eux, les Valencians sont alors étonnamment maladroits et peu inspirés. Les Olympiens maîtrisent le jeu pendant 45 minutes et tiennent alors largement la dragée haute aux espagnols.

Mais comme tous le monde le redoutait face à ce type de formation, la première erreur a été payé lourdement, très lourdement. Le «meilleur» arbitre du monde, M.Collina expulse injustement Fabien Barthez pour un penalty qui lui, est légitime. Le jeune Gavanon, à peine rentré, ne peut rien sur le tir de Vicente. Jamais personne n'osera en vouloir à Fabien.
Et les évènements s'enchaînent cruellement, le handicap est trop lourd. Valence monopolise la balle et les Marseillais s'énervent. Tous les ballons reviennent dans les pieds espagnols et la formation olympienne devient totalement désorganisée. Naturellement, c'est sur un contre bien mené que Mista vient doubler la mise. Les Marseillais, blessés en plein vol, n'ont alors plus que la force du désespoir pour finir la rencontre dignement. Si la défaite est difficile, il faut reconnaître aux Valencians un réalisme et un sang froid exemplaire..

Il reste désormais à retenir les bons moments, les belles victoires et le talent d'une équipe qui est née cette année et qui aura beaucoup appris comment se gagne une finale. L'OM a perdu une coupe mais a gagné une équipe. Les apprentissages sont toujours difficiles et tous les ténors européens passent par ces moments cruels. L'équipe actuelle de Valence a pleuré deux finales avant d'avoir l'honneur de soulever une coupe européenne. Les Olympiens rejoueront des finales et feront vibrer à nouveau le Vel'. Alors merci à tout ce groupe qui a fait honneur au maillot olympien tout au long de son parcours européen.

Valence 2-0 OM
Finale de la Coupe UEFA 19/05/04
Stade Ullevi, Goteborg
Spectateurs: 40.000 environ
Arbitre: M. Collina
Buts : Valence: Vicente (44), Mista (58)
Avertissements : Marlet (10), Drogba à l'OM, Vicente (27), Carboni (34) à Valence
Expulsion: Marseille: Barthez (45)
Valence: Canizares - Curro Torres, Ayala, Marchena (Pellegrino 86), Carboni - Rufete (Aimar 64), Albelda (cap), Baraja, Vicente - Angulo (Sissoko 82), Mista
Marseille: Barthez - Ferreira, Beye, Hemdani (cap), Meïté, Dos Santos - Flamini (Batlles 71), Ndiaye (Celestini 86), Meriem (Gavanon 45+1) - Marlet, Drogba


Le Parcours jusqu'à la finale
- 16e A : OM 1-0 Dnipro
- 16e R : Dnipro 0-0 OM
- 8e A : Liverpool 1-1 OM
- 8e R : OM 2-1 Liverpool
- 1/4 A : OM 1-0 Inter
- 1/4 R : Inter 0-1 OM
- 1/2 A : Newcastle 0-0 OM
- 1/2 R : OM 2-0 Newcastle
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#Posté le dimanche 24 juillet 2005 16:47

FINALISTE UEFA 1999

A Moscou, il n'y a pas eu de miracle pour les Olympiens. Donnés outsiders, privés de 5 titulaires (Ravanelli, Dugarry, Luccin, Gallas suspendus, et Roy blessé), ils ne pouvaient rien face au rouleau compresseur parmesan. Leur entraîneur lui-même ne donnait qu'un faible pourcentage à leurs chances. Au vu de la tournure des événements, on ne peut que lui donner raison, même si un peu plus d'optimisme n'aurait sans doute pas fait de mal. Car, l'OM a donné parfois l'impression qu'il avait perdu cette finale avant même de la jouer.
Pour ne rien arranger, il a donné le bâton pour se faire battre. Laurent Blanc, héros en demi-finale, a précipité la chute de son équipe en commettant une erreur grossière : une passe en retrait de la tête insuffisamment appuyée pour Porato sur laquelle surgissait Crespo pour lober le portier. Destin cruel pour le capitaine exemplaire, décidément maudit avec les finales, après celle, ratée, du Mondial 98. On jouait la 25e minute et les Marseillais n'avaient en tout cas vraiment pas besoin de ça.
Car, jusque-là, ils avaient fait mieux que de se défendre, et le déclic ne semblait pas loin. Mais en guise de déclic, il y eut donc la claque.
Assommés par ce but contre le cours du jeu, ils eurent toutes les peines du monde à repartir de l'avant. De toute façon, Parme refermait vite la fenêtre et en ajoutait un deuxième par Vanoli, de la tête, à la réception d'un centre de Fuser. Autant dire que la Bonne Mère devait être fort occupée ce soir-là pour venir si peu en aide à ses protégés.
A la pause, la cause olympienne semblait bien mal engagée. Les 3500 courageux supporters marseillais présents au stade Loujniki avaient le moral en berne. Pour tout dire, c'était «Bonjour tristesse» dans cette enceinte à moitié vide, peuplée de miliciens, et où le thermomètre indiquait –3 degrés... en plein mois de mai ! La faute à l'Uefa et à sa fausse bonne idée de délocaliser en Russie une finale entre Français et Italiens.
A la 55e, les Parmesans enfonçaient le clou au terme d'une action de toute beauté. Un contre mené à cent à l'heure par Thuram sur son côté droit, suivi d'un centre de Veron. Malicieusement, Crespo feintait la reprise et laissait passer pour Chiesa qui reprenait en pleine lucarne. Une véritable leçon de football moderne, faite de vivacité, puissance et technique.
Dès lors, planait le spectre du 6-0 encaissé par Bordeaux en mars contre cette même équipe. Porato s'employait d'ailleurs rapidement pour arrêter l'hémorragie d'une claquette sur la transversale après un coup franc de Balbo.
Pour finir, Titi Camara aurait pu permettre à l'OM de sauver l'honneur, mais son tir de la 70e minute n'attrapait pas le cadre. Comme, du reste, la grande majorité des tentatives olympiennes.
Au coup de sifflet final, la déception était grande, même s'il n'y avait pas de quoi rougir. Les fans phocéens ne s'y trompaient pas et scandaient de puissants «Allez l'OM !». Dignes, tout simplement. Promis, on reviendra.

AC Parme (Ita) 3-0 OM
Finale de la Coupe de l'UEFA
A Moscou, Stade Loujniki
60 000 Spectateurs
Arbitre : M. Dallas (Eco)
Buts : Crespo (25e), Vanoli (34e), Chiesa (55e) pour Parme
Avertissements : Asprilla (90e) à Parme ; Blondeau (50e) à l'OM
Parme : Buffon – Sensini, Canavaro, Thuram - D. Baggio, Boghossian, Vanoli, Fuser – Veron (Fiore 76e) – Chiesa (Balbo 72e), Crespo (Asprilla 82e). Ent : Malesani
OM : Porato – Blondeau, L. Blanc, Issa, Domoraud – Edson (Camara 46e), Bravo, Brando – Pirès, Gourvennec – Maurice. Ent : Courbis


Le Parcours jusqu'à la finale
- 32e A : Olomouc 2-2 OM
- 32e R : OM 4-0 Olomouc
- 16e A : Werder 1-1 OM
- 16e R : OM 3-2 Werder
- 8e A : Monaco 2-2 OM
- 8e R : OM 1-0 Monaco
- 1/4 A : OM 2-1 Vigo
- 1/4 R : Vigo 0-0 OM
- 1/2 A : OM 0-0 Bologne
- 1/2 R : Bologne 1-1 OM
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#Posté le dimanche 24 juillet 2005 16:51

LA LEGENDE DE L'OM: 1899-1918

Comme dans de nombreux autres endroits c'est grâce à la mer que le football est arrivé à Marseille. Si le port du Havre, très proche de l'Angleterre, a été la première porte d'entrée du football " moderne ", les nombreux anglais (marins, ouvriers, ingénieurs et autres) qui débarquaient au Vieux Port ont réussi à propager ce " nouveau " sport. Au début ils organisaient des matches entre eux, le plus souvent de football rugby. Car en ce temps là il existait " deux " football. Celui cité ci-dessus, qui est l'ancêtre du rugby actuel, et l'autre dit football association qui aura plus de mal à démarrer puisqu'il faut attendre 1895 pour trouver la trace de la première rencontre de ballon rond. Parmi les sociétés existantes, le Sporting Club de Marseille (fils du " Fol Club ") est celui qui va être le déclencheur en ajoutant une section " association ". La disparition du SCM en 1897 (il reviendra un an plus tard) va donner l'idée à d'autres mordus de créer de nouvelles équipes et parmi elles le Football Club de Marseille. Celui-ci commença en jouant au rugby, puis vint au football (fusion avec l'Epée, club d'escrime !) et fin 1899 va s'effacer devant l'Olympique de Marseille dont les statuts sont définitivement adoptés quelques mois plus tard. Premier engagement et premier titre : champion du Littoral pour la saison 1899/1900.
Devant le développement du football en France, un championnat " national " va être organisé. Il met aux prises les différents champions régionaux mais sur un seul match éliminatoire. Et l'OM y participe pour la première fois à la fin de la saison 1902/1903. Il atteindra la 1/2 finale qu'il ne...jouera pas. Une histoire de joueur non qualifié aux tours précédents l'en privera. L'OM sera abonné à cette 1/2 finale (1904,1905,1907,1908) sans jamais arriver à la gagner. Il lui faudra attendre 10 ans pour revenir au sommet. En effet, de 1909 à 1914 un nouveau venu, le Stade Helvétique, va à chaque fois devancer les " blancs " sur le plan régional et même devenir 3 fois Champion de France.
La guerre 14-18 va suspendre presque toute activité sportive. La paix revenue, de nombreuses compétitions concurrentes sont organisées au plan national. L'une d'elles, la Coupe Nationale de l'USFSA (l'un des grands organismes sportifs de l'époque) va permettre à l'OM de jouer sa première finale (perdue 1-4 contre le Havre Athlétic Club). Cette même année 1918 est lancée une toute nouvelle épreuve qui va faire de l'OM son plus illustre représentant : la Coupe de France. Pour la petite histoire, le premier match verra l'OM battre l'Herculis de Monaco par 7 à 0.
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#Posté le dimanche 24 juillet 2005 16:59

LA LEGENDE DE L'OM: 1919-1934

L'année suivante voit la création de la Fédération Française de Football qui devient l'organisme unique du ballon rond puis est crée la Ligue du Sud Est. Celle-ci va mettre sur pied un championnat très relevé qui sera largement dominé par le FC de Sète (champion de 1921 à 1926 inclus) avant que l'OM n'enlève son premier titre en 1929.
Entre temps c'est le premier trophée national avec la victoire (3-2 contre le rival sétois) en finale de la Coupe de France 1924. Suivie de deux autres succès (1926 et 1927), de 3 Championnats du Sud Est (1929 à 1931) et du titre de Champion de France en battant le Club Français (Paris) par 3 à 2 en 1929. Une pléiade d'internationaux joue alors sous le maillot blanc : Alcazar, Allé, Crut, Dewaquez, Durand, Durbec, Gallay et Jean Boyer. Ce dernier a été, en 1923, le premier marseillais à évoluer en équipe nationale.

1932 est une date importante. C'est la création du professionnalisme et l'OM s'engage dans cette nouvelle aventure qui débute le 11 septembre par une victoire 2-1 à Lille grâce à un doublé d'Alcazar. Ce premier championnat était divisé en 2 poules de 10 équipes. Les Olympiens termineront seconds à 5 points de Lille, premier champion de l'ère professionnelle. Les 7 premiers de chaque groupe vont former la division 1 de la saison 1933/34 où l'OM va incroyablement laisser échapper ce qui aurait pu être son premier doublé.

Tout d'abord la finale de la Coupe l'oppose à nouveau au FC Sète qui va gagner 2-1 dans des conditions houleuses. Il y a tellement de monde que les barrières des tribunes ont cédé et le public se trouve même sur les bords du terrain. L'ambiance est électrique. L'OM est diminué, Kohut est mal remis d'un claquage et Zermani (qui ouvre le score en étant hors-jeu) se blesse en fin de mi-temps. Sète va prendre l'avantage en marquant deux fois avant qu'Alcazar n'égalise à la 78è. Mais Zermani, le passeur, était en position irrégulière. Cette fois le but est refusé mais Alcazar, Di Lorto et Zermani protestent tellement qu'ils seront, après délibération de la commission de discipline de la ligue, suspendus 15 jours.

La déception passée, le championnat va venir, croit-on, panser les plaies. Il reste 1 seul match à jouer pour Sète et 3 pour l'OM, en tête avec 1 point d'avance. Privé de Zermani blessé et d'Alcazar (retenu dans l'équipe de France qui joue à Amsterdam contre les Pays-Bas) le premier match en retard est perdu chez le Cercle Athlétique de Paris, alors dernier ! Encore une défaite pour la dernière journée régulière à Lille avec Alcazar (gracié) mais sans Zermani ni Di Lorto (l'OM joue d'ailleurs avec le 3e gardien, le second étant blessé) alors que, chez lui, Sète en battant Antibes prend la tête. Tout se joue donc à Marseille lors du dernier match en retard contre l'Excelsior. Roubaix s'impose 4-2. Les rêves de titre s'envolent et pour couronner le tout la part de recette de l'OM sera volée dans la nuit !
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#Posté le dimanche 24 juillet 2005 17:00

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