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OLYMPIQUE DE MARSEILLE

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L'Olympique de Marseille a le plus grand palmares des clubs français. Venez retrouver sur ce blog, tous ses titres mais également tous ce qui entoure ce club depuis 1899 à aujourd'hui. Pour les inconditionnels de l'OM...

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LA LEGENDE DE L'OM: 1998-2000

L'année suivante laissera un goût amer, ou sucré selon les points de vue. En championnat se joue, avec Bordeaux, une incroyable dramatique. Après 10 journées, l'OM compte 1 point de retard sur eux, leaders. À la 15e journée, c'est l'inverse. Il en sera ainsi jusqu'à la 32e journée. L'OM perd 1-2 à Paris dans les 6 dernières minutes tandis que Bordeaux s'impose à Lens.
Lors de la dernière journée, les Olympiens l'emportent, mais les Girondins vainqueurs à Paris devant un Psg amorphe sont sacrés champions. Malgré cette lutte épuisante, l'OM dispute la même année, sa 3e finale européenne. Elle est perdue 0-3 contre Parme avec des circonstances atténuantes, puisque de nombreux joueurs clés manquent à l'appel, soit blessés, soit suspendus à la suite de demi-finales " musclées " contre les Italiens de Bologne. L'OM centenaire ne verra donc pas de titre supplémentaire s'ajouter à son riche palmarès.

Paradoxe des paradoxes, la saison 1999/2000 va voir l'OM passer du sommet de l'Europe aux portes de la division 2. A côté d'authentiques exploits en Champion's League (victoires 1-0 contre les Champions d'Europe en titre de Manchester United et les milliardaires de Chelsea), le club marseillais réalise un parcours chaotique en championnat. Quatrième après 10 journées, huitième après 20, à deux journées de la fin, les Phocéens ne comptent que 3 points d'avance (une victoire donc) sur le premier relégable. Nancy, concurrent direct à la course au maintien, vient obtenir le partage des points au Vél lors de la 33è journée.
L'avance n'est plus que de 2 points. Tout se joue le 13 mai à Sedan. Après avoir été menés 0-1, les Olympiens marquent deux fois et sont sauvés. Mais à une minute de la fin, les Sedannais égalisent. S'ils marquent encore c'est la descente en D2... Heureusement le match se termine sur ce nul 2-2 et la place en D1 est conservée grâce à une meilleure différence de buts. La dernière minute du championnat 1998/99 avait coûté du titre, celle de 1999/2000 est salvatrice !
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#Posté le dimanche 24 juillet 2005 17:13

LA LEGENDE DE L'OM: 2000-2005

La saison 2000-01 est une des plus agitées de l'histoire pourtant mouvementée de l'OM. Les entraîneurs (Braga puis Clemente et enfin Ivic) et les directions (Marchand puis Cano) se succèdent. Logiquement, l'équipe de Ngotty, Pouget et Marcelinho se débat dans les profondeurs. Seuls les buts de Belmadi, et l'apport de Weah, lui permettent de ne pas couler à pic. En avril, la situation chaotique amène Robert Louis-Dreyfus à abattre un joker : il donne les clés du groupe sportif à Bernard Tapie.
L'ancien « Boss » remplit sa première part du contrat en évitant la relégation. La suite est moins heureuse en 2001-02. L'hyperactivité sur le marché des transferts en été puis en hiver est source de satisfactions (Leboeuf, Runje, Van Buyten) mais aussi de désillusions (Delfim, Fernandes, Chapuis, Torrisi, Tuzzio, ou encore Dill). L'amalgame ne se fera jamais et l'OM se classe finalement tant bien que mal dans la première partie du classement (9e) pour la première fois depuis trois ans.

2002-03 est la saison du retour à la normale. Bernard Tapie s'en va discrètement et cède le gouvernail à Christophe Bouchet. La première décision de l'ancien journaliste est de confier l'équipe à Alain Perrin, l'entraîneur qui monte et que convoitait le champion lyonnais.
Pour une fois, l'OM joue la carte de la sagesse et de la stabilité au mercato (trois recrues). Et cela paye. Malgré quelques insuffisances, la formation conduite par Perrin réussit un beau parcours, décrochant même le titre honorifique de champion d'automne. Elle termine à la 3e place, synonyme de tour préliminaire à la Ligue des Champions.
En septembre 2003, l'OM retrouve enfin l'Europe. Le tirage lui offre le Real Madrid. Une opposition qui illustre un peu plus le retour au premier plan du club phocéen. Pour mener à bien cette saison bourrée d'espoirs, le recrutement a été conséquent. Avec en tête d'affiche un duo d'attaque prometteur : Drogba-Mido.
Mais alors que l'on s'orientait vers une grande année, tout s'écroule en quelques mois. Au coeur d'un hiver catastrophique, Alain Perrin est débarqué au profit de José Anigo. L'électrochoc n'a pas les effets escomptés en championnat où l'OM fait rapidement une croix sur ses objectifs. Car tous les regards se sont tournés vers la Coupe de l'Uefa. Les Olympiens y enchaînent les exploits en sortant successivement Liverpool, l'Inter Milan et Newcastle pour se hisser en finale. Un parcours royal qui ravive la flamme du public phocéen. Ce n'est pas un hasard si la banderole «Fiers d'être marseillais», remisée depuis des années, fait son retour au pied du Virage Sud.

Malheureusement, l'expulsion contestable de Fabien Barthez à Göteborg, scelle le sort de la finale. Elle déséquilibre trop le rapport de forces entre les favoris valencians et les outsiders marseillais. Le champion d'Espagne s'impose 2-0 face à des Olympiens inconsolables.

La saison 2004-05 se joue avant même le premier match de championnat. Car à la mi-juillet, Marseille dit adieu à sa nouvelle idole, Didier Drogba, vendu pour 37 millions d'euros à Chelsea.
Ce transfert change toute la donne de la politique du club. Des retouches annoncées, on passe à un remaniement de fond. La mayonnaise ne prend pas dans le groupe, renouvelé à 80%. Les résultats tendent la relation avec les supporters qui attendent des changements. En novembre, Anigo démissionne, imité quelques jours plus tard par Bouchet.
L'arrivée de Philippe Troussier offre une embellie sur le terrain. Après un début d'année tonitruant, l'équipe rêve les yeux ouverts. Deuxième, elle se voit même venir chatouiller Lyon. Mais après avoir connu une superbe série, l'OM vit ensuite une période délicate avec plus de deux mois sans victoire, et doit se contenter de la cinquième place.
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#Posté le dimanche 24 juillet 2005 17:17

LES PLUS GRANDS GARDIENS

Fabien BARTHEZ
Olympien de : 1992 à 1995 et depuis 2004
Palmarès OM : Champion de France 93 et Champion d'Europe 93 - Finaliste de la coupe de l'Uefa 2004


Avant d'être unanimement désigné « meilleur gardien du Monde » au sortir d'un Mondial 1998 époustouflant, ou bien d'être affectueusement surnommé « le divin chauve », Fabien Barthez s'était déjà fait un nom à Marseille.
Repéré alors qu'il venait de boucler sa première saison en pro à Toulouse, le jeune portier débarque à l'OM en 1992. La vingtaine insouciante, Barthez poursuit d'abord son apprentissage dans l'ombre du titulaire Pascal Olmeta.
Mais déjà son talent saute aux yeux. Lancé dans le grand bain à l'automne par Jean Fernandez, le Minot connaît une ascension fulgurante. Ses prises de balles aériennes sont impeccables, avec un match dantesque à Glasgow en guise de baptême du feu. Sa qualité relance au pied impressionne surtout. «C'est mon meilleur relanceur», dira même un jour Goethals.
Brillant tout au long du parcours européen, le « surdoué » se révèle décisif en finale contre le Milan AC, écoeurant Van Basten et Massaro. Un phénomène, qui devient à 21 ans le plus jeune gardien vainqueur de la Coupe des Champions.
Le c½ur bien accroché à Marseille, il encaisse les tempêtes qui secouent le club en 1993-94. Il fait même preuve d'un attachement hors norme en acceptant, malgré son statut naissant d'international, de rester une saison en division 2 au sein de l'équipe phocéenne.
La situation olympienne ne lui permet pas de rester une deuxième année au purgatoire, et il quitte donc l'OM pour le voisin monégasque en 1995-96.
En Principauté, il progresse encore, enlève de nouveaux titres et finit, en parallèle, par s'imposer dans les buts des Bleus avec qui il soulève la Coupe du Monde puis l'Euro.
Après 5 années passées sur le Rocher, Barthez se laisse séduire par Manchester United, pour aller y vivre la seule expérience à l'étranger de sa prestigieuse carrière. Les trois premières saisons lui permettent de gonfler un peu plus encore son palmarès.
Mais en 2003-04, sa situation se complique. L'appel du pied de Marseille arrive à point nommé. Il y est tout d'abord prêté puis définitivement transféré.
Malgré plusieurs semaines à piaffer d'impatience en raison du refus de la FIFA de le laisser jouer jusqu'en janvier 2004, son retour dans le club de ses premiers titres est un franc succès. Grand artisan de l'épopée en Uefa, il a le malheur d'être expulsé en finale contre Valence par Pierluigi Collina après avoir commis une faute dans sa surface. Le carton rouge précipite la défaite marseillaise, d'autant qu'il s'ajoute à un penalty. Barthez enrage contre cette double peine. Il assiste, impuissant, à la fin du rêve olympien.
Mais comme toujours il revient encore plus fort la saison suivante. Incontestablement le dernier rempart le plus brillant et régulier qu'ait connu l'institution OM.

VASCONCELLOS (Jaguare de Besvecoune)
Olympien de : 1936 à 1939
Palmarès OM : Champion de France 1937, vainqueur de la Coupe de France 1938


Né au Brésil à une date indéterminée (il l'ignorait lui-même), le Jaguar est un des héros quasi mythiques de la grande geste olympienne. Ses arrêts étonnants comme ses fantaisies dans la cage et sa verve intarissable firent de ce grand mulâtre venu de Vasco de Gama via Barcelone l'une des grandes attractions de l'OM dans les années 30. Mort pendant la guerre, au Brésil, dans des circonstances mystérieuses.

Georges CARNUS
Olympien de : 1971 à 1974
Palmarès OM : Champion de France en 1971 et 1972, vainqueur de la Coupe de France en 1972


Né le 13 août 1942 à Gignac, 36 sélections de 1963 à 1973. Formé à Aix, il fut engagé très tôt par le Stade Français et fit ses débuts en équipe de France à 21 ans contre le Brésil de Pelé. Après avoir enlevé 3 championnats et 2 coupes avec Saint Etienne, il vint accomplir un 3e doublé avec l'OM.
Gardien souple, doté de réflexes étonnants, il demeura longtemps le plus capé des spécialistes, n'étant devancé que par Bats.

ET AUSSI...
Charles Allé, Laurent Di Lorto, Pierre Angel, Jacques et Christian Delachet, Armand Libérati, Jean-Paul Escale, René Charrier, Joseph-Antoine Bell, Gaetan Huard, Pascal Olmeta, Andreas Köpke, Vedran Runje
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#Posté le dimanche 24 juillet 2005 17:27

LES PLUS GRANDS DEFENSEURS

Basile BOLI
Olympien de : 1990 à 1994
Palmarès OM : Champion de France en 1991, 1992, 1993 ; Vainqueur de la Ligue des Champions en 1993 ; Finaliste de la Coupe des Champions en 1991 ; Finaliste de la Coupe de France en 1991


Jusqu'à la fin des temps olympiens, on parlera du but de Basile à Munich, qui fit se dresser le pays tout entier. Réussite d'autant plus symbolique que deux ans plus tôt à Bari, les larmes du gros B.B. avaient également fait la Une de l'actualité.
Les débuts marseillais de l'enfant d'Abidjan, élevé à Romainville en banlieue parisienne puis dans le sérail auxerrois, n'avaient pourtant pas été faciles, un différend l'ayant opposé à Papin alors qu'il était bourguignon. Mais il eut tôt fait de retourner la situation à son avantage pour devenir l'un des enfants chéri du Vélodrome. Il est vrai qu'il y tint sa partition avec brio. Tant en défense où sa vitesse et sa masse athlétique étaient impressionnantes que sur le plan offensif, quelques uns de ses buts - nombreux sous l'ère Beckenbauer qui l'avait placé dans le couloir - étant même demeurés fameux, comme celui, fabuleux, par lequel il terrassa Paris trois jours après Milan. International à 19 ans (en 1986), Basile Boli compte 45 sélections, comme Raymond Kopa. Il cessa d'être appelé en 1993, alors qu'il n'avait que 26 ans, Gérard Houllier préférait s'appuyer sur une ossature parisienne au moment où l'OM venait pourtant de donner à la France sa première coupe d'Europe.
Cela lui évita au moins d'être des deux naufrages du Parc contre Israël (2-3) et la Bulgarie (1-2). Mais comme bien d'autres joueurs de sa génération, il n'a pis pare à aucune coupe du monde. Quant à la suite de sa carrière, perturbée par des blessures à répétition, elle suivit d'assez curieux méandres, de Glasgow au Japon en passant par Monaco.

Marius TRESOR
Olympien de : 1972 à 1980
Palmarès OM : Vainqueur de la Coupe de France 1976


Il fut un tel monument de notre football que l'on est presque surpris de constater qu'il n'a gagné qu'une coupe de France, avec l'OM en 76 et un titre de champion avec Bordeaux en 84. Il est vrai qu'il passa huit saisons à Marseille en un temps où les résultats étaient pour le moins irréguliers...
Révélé à Ajaccio, Marius-le-Guadeloupéen fut un formidable et athlétique défenseur aux tacles propres et précis, pratiquement impassable d'homme à homme, doté de surcroît d'une sacrée pointe de vitesse ! Rien d'étonnant donc s'il fut retenu 65 fois en équipe de France où il améliora en 1983 le vieux record de Roger Marche (63) qui tenait depuis 24 ans. Passant tout prés du bonheur suprême à Séville au sein d'une équipe extraordinaire...
Marius fait aujourd'hui partie du staff Girondins de Bordeaux, le club où il termina sa carrière.

Karl-Heinz FORSTER
Olympien de : 1986 à 1990
Palmarès OM : Champion de France en 1989 et 1990


Le pendant d'Allofs en défense. Né le 25 juillet 1958 à Mosbach, il compte pas moins de 81 sélections en équipe de RFA avec laquelle il fut champion d'Europe en 1980 à Rome et deux fois finaliste de la coupe du Monde en 1982 et 86. L'une des plus grandes réussites olympiennes en matière de transfert. Gentleman parfait et joueur remarquable, il fut, trois ans durant, la clé de voûte d'une défense phocéenne à laquelle il apporte rigueur et stabilité. La fin de son séjour fut malheureusement marqué par une blessure. Professionnel exemplaire, il avait la classe avec un grand C...

Eric DI MECO
Olympien de : 1980 à 1994
Palmarès OM : Champion de France en 1989, 1990, 1991, 1992, 1993 ; Vainqueur de la Ligue des Champions en 1993 ; Vainqueur de la Coupe de France en 1989 ; Finaliste de la Coupe des Champions en 1991 ; Finaliste de la Coupe de France en 1991


Tout autant que Papin et Barthez -et peut-être même sentimentalement un peu plus- il sera à jamais l'enfant chéri du public marseillais.
Parce que, à la façon d'Escale et Tassone avant lui, il aura tout connu avec l'O.M., de l'angoisse d'une liquidation judiciaire à la grisante euphorie des grandes heures bavaroises. Fidélité qui aura permis au dernier des Minots, irrésistible symbole, de se tailler le plus beau des palmarès olympiens, étant le seul à participer à toutes les conquêtes de l'ère Tapie : cinq titres gagnés dont quatre homologués, un doublé, deux finales de coupe des champions dont une victorieuse.
Plus vingt-trois apparitions en équipe de France où il fut appelé par Michel Platini et rappelé par Aimé Jacquet après une parenthèse d'absence durant l'ère Houllier. Son passage à Monaco lui valant de glaner un autre titre de champion avec Anderson et Barthez. Et dire que rien de tout cela sans doute ne serait arrivé si Michel Hidalgo n'avait eu l'idée de faire de cet ailier gauche un arrière latéral, transformant ainsi du tout au tout sa destinée...

Carlos MOZER
Olympien de : 1989 à 1992
Palmarès OM : Champion de France en 1990, 1991, 1992 ; Finaliste de la Coupe des Champions en 1991 ; Finaliste de la Coupe de France en 1991


Né le 19 septembre 1960 à Rio de Janeiro. Parce qu'ils le jugeaient trop chétif, les dirigeants de Flamengo lui firent subir un traitement pour grandir. Ce qui fit de lui un géant mais contraria son début de carrière marqué par des blessures à répétition. Il n'en perça pas moins très tôt sur la scène internationale, attirant sur lui les regards des recruteurs portugais.
Battu aux tirs au but avec Benfica en finale de la Coupe d'Europe 88, il allait vivre trois ans plus tard la même mésaventure avec l'OM, à Bari.
Libéro rapide et intraitable, irrésistible dans le jeu de tête, il fut l'un des meilleurs spécialistes à son poste. Son autorité au sein de la défense marseillaise demeure une référence en la matière.

Laurent BLANC
Olympien de : 1997 à 1999
Palmarès OM : Finaliste de la Coupe de l'Uefa 1999


Et dire qu'il ne voulait pas devenir libero ! Milieu plutôt offensif à ses débuts, Laurent Blanc ne souhaitait pas se voir confiné dans un rôle trop réducteur à ses yeux, d'autant qu'en 1986-87, l'année de la remontée de Montpellier, il avait inscrit 18 buts en D2. Il se laissa convaincre néanmoins et fut champion d'Europe Espoirs à ce poste en 1988, ce qui ne l'empêcha pas de continuer à marquer pour le club héraultais à l'étage au dessus : 15 buts en 89, 12 en 90, 14 en 91... Une bonne habitude qu'il dut abandonner à Auxerre (2 buts seulement) mas qu'il ne perdit pas plus à Saint-Etienne (13 buts en 1995) qu'à l'O.M. (11 pour sa première saison) ou même à Naples (6 buts en Italie pour un défenseur, c'est plutôt rare), ce qui fait de lui un joueur doublement précieux, pour ne pas dire un buteur en or (cf : France-Paraguay dont il fut le héros).
Un joueur qui, tout en étant né au mois de novembre 1965, n'a jamais été aussi fort qu'à la fin des années 90, ainsi qu'il l'a démontré à la planète entière au cours d'un Mondial qu'il a survolé et dont, de façon bien injuste, il n'a pu vivre pleinement l'apothéose.

ET AUSSI...
Max Charbit, Jean-Jacques Marcel, Jean Djorkaeff, Bernard Bosquier, François Bracci, Bernard Casoni, Manuel Amoros, Marcel Desailly, Jocelyn Angloma,...
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#Posté le dimanche 24 juillet 2005 17:34

LES PLUS GRANDS MILIEUX

Alain GIRESSE
Olympien de : 1986 à 1988
Palmarès OM : Finaliste de la Coupe de France en 1987


Le petit lutin bordelais devient un géant le temps de la Coupe du Monde 1982, au Mexique. Meilleur français de l'épreuve, il place une tête inoubliable au nez et à la barbe des grands défenseurs irlandais. Fidèle à son pays de Gironde, il surprend pourtant la France du foot en répondant aux sirènes exaltantes de Bernard Tapie.
En effet, à la surprise générale, il décide de finir sa carrière à Marseille, Claude Bez, le président bordelais crie à la trahison. En une année à Marseille, il distribue des tas de bons ballons à Papin avant de raccrocher les crampons avec à son actif 582 matches de D1 (record pour un joueur de champ) et 164 buts.
Directeur sportif à Bordeaux puis Toulouse, il endosse le rôle d'entraîneur du club de la cité des violettes qu'il fait monter en D1 en deux occasions. Malheureusement, pour lui, il n'a pas le temps de construire au PSG et, de nouveau, à Toulouse d'où il est débarqué une nouvelle fois. Il file par la suite au Maroc, avant d'accepter le challenge que lui propose la Georgie, son objectif : la Coupe du Monde 2006... En Allemagne !
Né au c½ur des vignobles de Gironde, le 2 septembre 1952, Alain Giresse est plus qu'un Bordelais de c½ur. Il est l'âme des Girondins, club pour lequel, il a tout donné. Et avec lequel, il tout gagné : championnat (3), Coupe de France (2)...
Pourtant, des limites physiques auraient probablement dû le priver d'une carrière aussi exemplaire, mais grâce à une parfaite maîtrise technique, il a su parfaitement compenser cette lacune. Malgré tout, il a fallu du temps –beaucoup de temps—pour que les experts comprennent que ce poids plume serait très utile au foot français.
Sous le maillot bordelais, ce petit homme était capable, de gestes techniques les plus ardus, accomplis avec un naturel désarmant. Son intelligence dans le jeu et la précision de ses passes ont finalement fini par conquérir le sélectionneur national Michel Hidalgo qui n'a pas craint, le moment venu, de l'associer avec Michel Platini pour aboutir avec le concours de Jean Tigana et Luis Fernandez au milieu de terrain d'exception qui allait notamment permettre à la France de devenir champion d'Europe en 1984.
« Gigi » a grandement participé à cette marche victorieuse, mais il a aussi connu quelques amères déceptions. Au niveau de ses deux clubs d'abord. Tant avec les Girondins que sous le maillot de l'OM, une participation à une finale européenne lui fut refusée. En Coupe des Champions, Bordeaux devait échouer en ½ finale, en 1985 face à la Juventus de Michel Platini, laquelle « Vieille Dame » réussissait à s'imposer dans le cadre de la funeste finale du Heysel, de triste mémoire.
Avec l'OM, en ½ finale de la Coupe des Coupes, c'était l'Ajax d'Amsterdam qui constituait un obstacle infranchissable en 1988. Mais c'est avant tout à Séville, qu'Alain Giresse eu vraiment le sentiment de rater le coche. Pendant la prolongation de la ½ finale de la Coupe du Monde 82, contre la RFA, une excellente frappe des vingt mètres, lui avait permis, avec l'aide du montant, de porter la marque pour les Bleus à 3-1. on sait que la France devait se faire rejoindre et finalement, s'incliner dans les tirs au but.

Joseph BONNEL
Olympien de : 1967 à 1973
Palmarès OM : Champion de France en 1971 et 1972 ; Vainqueur de la Coupe de France en 1969 et 1972


Né le 4 janvier 1939 à Florensac. 25 sélections de 1962 à 69. Réputé pour son dribble à ses débuts sous le maillot du S.O.M., il dépouilla son jeu par la suite pour devenir un footballeur excellemment complet, organisateur, buteur et travailleur infatigable. Après de longues saisons passées à Valenciennes, il accomplit le meilleur de sa carrière à l'OM de 67 à 73, enlevant 2 Coupes et 2 Championnats. Un élément clé de l'équipe du doublé.

Jean TIGANA
Olympien de : 1989 à 1991
Palmarès OM : Champion de France en 1990, 1991 ; Finaliste de la Coupe des Champions 1991 ; Finaliste de la coupe de France 1991


Né le 23 juin 1955 à Bamako. 52 sélections de 1980 à 1989. Comme Giresse, arrivé sur le tard à Marseille, en provenance de Bordeaux.
Mais si, à l'encontre de Gigi, il enrichit son palmarès de deux titres supplémentaires sous le maillot blanc, il vécut en revanche une sortie amère, indigne de sa carrière exceptionnelle.
Ecarté de la finale de Bari, il ne joua pas non plus celle de Coupe de France... ce qui lui permit de se retirer sans avoir jamais perdu de finale, des pupilles aux vétérans !
A son palmarès, cinq titres de champion, deux coupes de France, deux demi-finales de Coupe du Monde, un championnat d'Europe, quatre demi-finales de coupe d'Europe.
Et un but pour les Bleus (France-Hongrie 1986) comme pour les Blancs (OM-Poznan 90). Une sorte d'exploit pour ce récupérateur infatigable, altruiste dans l'âme, qui ne tentait pratiquement jamais sa chance... (Source : La grande histoire de l'OM)

Didier DESCHAMPS
Olympien de : 1989 à 1990 puis de 1991 à 1994
Palmarès OM : Champion de France 1990, 1992, 1993 ; Vainqueur de la Ligue des Champions en 1993


Premier capitaine d'une équipe française à recevoir une coupe d'Europe, Didier Deschamps, cinq ans plus tard, allait également être le premier footballeur tricolore à toucher la coupe du Monde !
Deux événements qui, des décennies durant, auraient paru totalement irréalistes. Mais c'est ainsi : DD, l'enfant de Bayonne promis à la plus belle des destinées, a toujours vu les faits s'enchaîner naturellement devant lui. Du beau maillot bleu ciel de l'Aviron Bayonnais à celui de Nantes et de l'OM, il a ainsi toujours porté le brassard naturellement, sans jamais le rechercher pour autant.
Apès avoir rencontré quelques difficultés pour s'imposer à son arrivée à Marseille en 1989, il fut ensuite prêté à Bordeaux pour mieux revenir en 1992 et définitivement exploser.
Il possède aujourd'hui le plus beau palmarès de notre football en tant que joueur et sa carrière d'entraîneur semble promise à de beaux succès. (Source : Cent ans d'OM)

ET AUSSI...
Jean Bastien, Jacky Novi, Franck Sauzée, Alain Boghossian, Marcel Dib,...
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